Bonnes nouvelles! Que la Terre reçoive son Roi

Le personnage central

Jésus est celui désigné pour nous réunir à Dieu. Il est la figure centrale de l’histoire de la Terre, passée et future. Il est la figure centrale du plan de Dieu pour nous.

Jésus est le négociateur de paix de Dieu. Si, d’une manière ou d’une autre, vous négligez de vous réconcilier avec Jésus, vous perdrez la possibilité d’établir la paix avec Dieu et votre vie reflétera un vide intérieur.

Notre libre arbitre

Quand Dieu nous a créés, il nous a donné le libre arbitre. Il nous a laissé la possibilité de rejeter son plan pour la Terre et de suivre notre propre voie. Il nous a permis de créer la Terre selon notre propre choix. C’est exactement ce que nous avons fait.

Nous avons rejeté la voie de Dieu et avons suivi notre propre voie. Regardez la Terre aujourd’hui. La Terre est telle qu’elle est grâce au choix que nous avons fait. La Terre est en ruine.

La mauvaise nouvelle

En raison de notre choix de suivre notre propre chemin, la Terre a depuis souffert du chaos et de l’agitation. Les mauvaises nouvelles s’enchaînent encore et encore. Procurez-vous simplement votre journal local et décidez vous-même de notre réussite. Les rues sont pleines d’horreurs et ce qui se passe derrière des portes closes est encore pire. Il ne semble y avoir aucun endroit où se cacher du chagrin que tout cela suscite. Imaginez la douleur que Dieu a ressentie de nous voir le quitter pour suivre notre propre chemin.

Encore de mauvaises nouvelles

Le cauchemar de la Terre n’est que le début d’une mauvaise nouvelle. En chacun de nous il y a un rongement et un désir. Le vide semble vouloir nous dévorer de l’intérieur. Nous ne pouvons pas remplir notre bouche assez vite pour satisfaire nos envies. Nous ne pouvons pas acheter des commodités assez rapidement pour nous mettre à l’aise. On ne trouve pas assez de sensations fortes pour calmer notre appétit toujours croissant.

Rempli de vide

Nous passons toute notre vie à nous remplir. Nous sommes littéralement remplis de désirs d’argent, de maisons, de voitures, de garde-robes, de connaissances, de diplômes, d’honneurs, de trophées, de reconnaissance, de réalisations, de références et de pouvoir. Nous sommes remplis comme jamais auparavant dans l’histoire de l’humanité. Pourtant, nous souffrons de nerfs, d’ulcères, de tensions, de maux de tête et d’insomnie comme jamais auparavant.

Complet, mais insatisfait

Nous mangeons la meilleure nourriture au monde, de plus en plus de restaurants sont construits chaque jour et la plupart d’entre nous ont rarement vraiment faim. Nous restons assis toute la soirée devant les systèmes de divertissement à domicile les plus technologiques jamais imaginés. Les tavernes sont également pleines, tout comme les boîtes de nuit. Vous pouvez virtuellement obtenir ce que vous voulez. Pourtant, au fond de nous, nous sommes conscients qu’il manque quelque chose.

Mal du pays

Ce dont nous souffrons est un cas chronique de sentiment de déconnexion de nos racines. Nous souffrons du même type d’angoisse que ressentent les parents dont l’enfant a disparu. La seule différence est que NOUS sommes cet enfant disparu. Nous avons quitté l’amour de notre foyer en pensant que nous trouverions la vraie vie au milieu de l’éblouissement et du glamour du « monde des adultes ».

Jetez tout
et rentrez chez vous !

Ce que nous avons découvert était loin d’être la vie, en fait, c’était la mort dans sa forme la plus tragique. Nous sommes déconnectés de Dieu qui est nos racines. Nous sommes devenus des morts-vivants. Nous sommes seuls, effrayés et vides. Mais au milieu de notre frénésie sauvage, nous ne nous rendons jamais compte : jetez tout cela et rentrez chez vous !

Ponts bombardés

Nous voilà, en train de passer un moment inoubliable ; plein mais vide; danser sauvagement avec nos amis, mais seuls ; nous nous pavanons, sans savoir si quelqu’un se soucie vraiment de nous, à part notre carrure envieuse ou notre maillot de bain. Même si nous avons reconnu notre mal du pays, dans notre aventure, nous avons bombardé tous les ponts derrière nous au fur et à mesure. Nous ne nous sommes laissé aucun moyen de rentrer chez nous, même si nous le voulions.

Dieu sait

Dieu le savait depuis le début. Il nous a créés et il nous connaît de bout en bout. Il a fait de nous plus qu’un simple corps. Nous sommes bien plus que des molécules et des impulsions électriques. Dieu nous a fait semblables à lui – esprit, et nous a donné un corps dans lequel vivre.

Dieu savait que nous essayerions désespérément de nous satisfaire et de nous apaiser avec les choses de cette Terre. Il savait que nous serions fatigués du vide de la vie sans lui. Il savait que nous serions fatigués de notre agitation.

Dieu savait que nous finirions par arriver au bout de nous-mêmes et chercherions un moyen de nous sortir de notre pétrin. Et il savait qu’on se lasserait de tourner en rond, cherchant en vain l’agrément « ultime », le plaisir « ultime », le délice « ultime » ; des désirs que lui seul peut satisfaire. Il le savait et il s’en souciait.

La fête est finie

Bientôt, la fête est terminée et vous réalisez à nouveau qu’elle était toujours aussi vide et insatisfaisante. Vous pouvez continuer à vous tromper, vous et vos amis : “J’adore ça !” ou vous pouvez admettre que vous êtes perdu, seul et misérable. J’en suis moi-même arrivé là.

Dites-le tel qu’il est

Finalement, sur le chemin de la vie, quelqu’un nous parle directement. Quelqu’un se soucie suffisamment de nous pour nous dire ce qu’il en est. Quelqu’un a le courage de nous dire ce que nous aimerions pouvoir nier ; que nous sommes perdus. Quelqu’un nous dit que Dieu nous aime et veut que nous revenions à la maison.

Jésus a pris mon blâme

Jésus est le chemin du retour. Jésus est au centre du plan de Dieu pour nous ramener à la maison. Jésus a pris la responsabilité de NOTRE mauvais choix. Lorsque nous avons pris la décision de suivre notre propre voie, selon la justice de Dieu, nous avons commis une mutinerie et une trahison. La mutinerie et la trahison sont punies de mort. Aucune offre. Pas de négociation de plaidoyer. La mort.

Jésus a pris ma peine de mort

Nous nous sommes mutinés en prenant injustement en charge le destin de la Terre. Nous avons commis une trahison, en ce sens que nous avons conspiré avec les ennemis de Dieu.

Dieu n’avait pas besoin de fournir un moyen de rentrer chez soi. Il aurait pu nous abandonner à notre propre sort, mais il ne l’a pas fait. Dieu nous aime. Il s’est habillé en Terrien et est venu nous faire signe de rentrer chez nous. C’était Jésus. Le prix que Jésus a dû payer pour assurer notre passage sûr vers la présence céleste de Dieu était la mort ; mort à cause de NOS mauvais traitements injustes envers Dieu et son autorité. Jésus a subi la mort que nous méritions.

Bonne nouvelle !

Lorsque les anges ont annoncé la naissance de Jésus, ils ont annoncé : « Une bonne nouvelle qui apporterait une grande joie à tous ! » Ils parlaient de : « un Sauveur, le Christ, le Seigneur ». Ceux qui prédisaient sa naissance l’appelaient : « Emmanuel », ce qui signifie « Dieu avec nous ». Puis on lui donna le nom : « Jésus, car il sauvera son peuple de ses péchés. »

Jésus vit pour moi

Trois jours après avoir souffert et être mort d’une mort cruelle et honteuse sur une croix, Jésus a été ramené à la vie pour ne plus jamais mourir. Tout cela à cause du grand amour de Dieu pour nous et de son espoir que nous voudrions revenir sous son autorité et renouer avec l’amitié.

Maintenant, Jésus garantit qu’il accordera la vie et un passage sûr vers Dieu à tous ceux qui lui demandent simplement : “Jésus, tu as pris la mort pour moi. Merci. Je veux la vie. Je veux vivre sous ton autorité. Je veux aussi un passage sûr vers le Ciel lorsque ma vie sur Terre sera terminée. » Jésus promet que sa mort suffira à pourvoir à tout cela. Jésus est notre pont vers Dieu.

Être bon ne suffit pas

Pour tous ceux d’entre nous qui croient que Dieu a envoyé Jésus mourir pour nous, nous réalisons que la faveur de Dieu ne peut être obtenue par AUCUN AUTRE MOYEN. Nous ne pouvons pas être assez bons pour mériter la faveur de Dieu. Nous ne pouvons pas faire de bonnes actions et gagner la faveur de Dieu. Nous ne pouvons pas mettre de l’ordre dans nos actes et convaincre Dieu de nous laisser tranquille.

Jésus est mon seul espoir

Peu importe à quel point nous agissons « bien » et à quel point nous nous comportons bien, nous ne pouvons pas effacer le fait que nous méritons la mort. Nous n’essayons donc pas d’impressionner Dieu. Nous dépendons simplement totalement de la mort de Jésus pour obtenir l’approbation de Dieu, pour satisfaire la justice de Dieu, pour arrêter la colère de Dieu à cause de nos péchés et pour effacer notre dette. Nous venons tels que nous sommes : coupables et PARDONNÉS !

Reddition

Essayer d’impressionner Dieu avec toutes les choses aimables et attentionnées que nous avons faites ne servirait qu’à compliquer les choses. À cause de nos péchés, Dieu exige, en termes militaires, que nous capitulions devant lui ; reddition inconditionnelle.

Dieu a envoyé Jésus pour prendre notre mort, donc sans Jésus nous n’avons pas de vie. Jésus nous a donné la vie, la vie éternelle. La mort de Jésus sur la croix nous permet de retourner au ciel, à Dieu et à la vie éternelle.

Jésus seul est impressionnant

Pourquoi Jésus prendrait-il la mort pour moi, une mort qu’il ne méritait pas ? Je ne sais pas. Cela me prouve simplement indéniablement qu’il m’aime. Le fait de l’amour de Jésus est très grave et donne à réfléchir. Jésus est génial. C’est la Bonne Nouvelle !

Pour des témoignages oculaires qui vous aideront à mieux comprendre Jésus, vous pouvez vous référer à la partie de la Bible appelée « Nouveau Testament », en particulier en commençant par « l’Évangile selon Jean ». Jean était l’un des amis et disciples de Jésus. #

Article tiré d’un journal de Jésus, 1ère édition, 1991 après J.-C. (révisé en 2010)